Au cœur de cette préoccupation, une étude commanditée par l’ANVT sur financement du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) permettra de disposer d’un document d’analyse et d’aide à la décision contenant des indications opérationnelles visant à vérifier,
dans le cadre d’un diagnostic général sur le volontariat national, les possibilités d’implication du secteur privé dans la mobilisation des jeunes volontaires.
En effet, l’expérience du volontariat a permis de renforcer le capital humain dans la perspective du développement durable au Togo. Les résultats atteints jusqu’à aujourd’hui a permis de classer le cas Togolais comme étant une référence en Afrique et bien au-delà. Cependant, le secteur privé n’est pas impliqué dans la mobilisation des volontaires.
Démarrée depuis le 15 novembre 2015, l’étude a été confiée, après appel d’offre, à un consultant international qui vient de fournir le rapport provisoire au cours d’un atelier à l’ANVT ce mercredi 13 janvier 2016.
Il ressort ainsi de l’étude que l’ANVT devra continuer l’expérience du volontariat tout en misant davantage sur la qualité des missions proposées ; élargir les formes de volontariat dans le secteur privé, mais seulement dans des cas bien ciblés et à des conditions précises ; établir des niveau de contribution financière raisonnables des organismes privés de la société civile et du 3ème secteur et à l’avenir, des entreprises privées, etc.