Pitiki-Alo a démarré son projet avec l’épargne de fin de mission et les petites économies de ses allocations mensuelles. Son mari reste une source de motivation dans la réussite de son projet. «Il n'y a pas de sot métier. Rester et compter sur l’homme, c’est difficile, quand tu as une activité que tu gères, ça te permet d’être respecté. Se lancer dans l'élevage des poulets demande à se renseigner sur les différentes races de poulets qui existent, (les races hybrides, les races locales et les races commerciales), le marché local de l'élevage et la durée de vie des poulets»