Fière de ce qu’elle est devenue, Abira ne regrette pas son choix. « Faire le VEC m’a permis d’acquérir beaucoup de connaissances dont j’ignorais. J’ai appris à prendre la parole en public, à sarcler, à faire du savon liquide que je produis maintenant pour usage personnel. Mes compétences dans la gestion des fonds et la culture de l’épargne ont été renforcées, ce qui solidifie mon AGR que j’ai démarré avec mes allocations de fin de mission », témoigne-t-elle.